dimanche 30 mars 2008

BDA's SDA

Dernièrement, à Sciences Po on ne me voit pas, et notamment pas dans ma chère salle des collections, dont je vous disais tant. Outre mes penchants d'autiste de plus en plus développés (moi ????), mes exposés qui s'empilent et mes amis hors-pipo, si on ne me voit pas, c'est surtout parce que je passe ce semestre la plupart de mon temps (libre) au Bureau des Arts. Et au BdA, en ce moment, on vous concocte ça :


Le site a ouvert aujourd'hui, il est tout nouveau tout beau, alors si jamais vous avez des idées / suggestions / propositions ...

mercredi 26 mars 2008

PoP ! Goes My Heart

Hier soir j'ai regardé Music & Lyrics, THE film qui a fait THE flop en France, avec Drew Barrymore et Hugh the Beautiful Grant. Mais bon, prise d'un besoin irrépressible de regarder quelque chose de léger, prévisible, et qui est sûr de finir en happy ending bien mérité (il était quoi, 23h?), j'ai donc appuyé sur play.


Et je peux vous dire que je n'ai pas regretté ! Si on passe outre le script pathétique, l'histoire nullissime et les rôles stéréotypés (oui, tout de suite, ça donne envie), ce film est hi-la-rant, une véritable occasion de bien se marrer. Grant y est drôlissime en pop star périmé, son déhanché à mourir, et LE must c'est la vidéo qui suit, et qui est les 3 premières minutes du film, mention spéciale pour la chemise à jabots dudit Hugh. (pour THE moments du film, c'est et puis )







Autant vous dire que j'étais morte de rire.

Et que j'ai toujours cette magnifique chanson dans la tête.

lundi 24 mars 2008

Headphone Girl


Je lisais l'autre nuit sur LadiesRoom (une fois n'est pas coutume...) un article sur les headphones. Oui, les gros écouteurs méga-trendys, là. Et l'article disait, notamment :


« Et puis sont apparus les casques. D’abord réservés aux ouvriers conducteurs de grues, aux aiguilleurs du ciel et aux DJ qui en ont fait une attitude de la night (qui ne rêve pas de porter un bon gros Sennheiser sur une seule oreille, en laissant l’autre libre pour pouvoir caler le morceaux suivant, la tête penchée et dans un mouvement de l’épaule remontée très très technique et très très sensuel?), le casque est devenu du jour au lendemain l’accessoire branché de tout un chacun, de l’étudiant avachi direction Jussieu au jeune beau du 16ème qui fait attention à ne pas froisser son pardessus direction La Défense, en passant par des gamins tecktoniks direction Châtelet. La minette à frange et en bottes camel vintage s’y est aussi mise, et tout le monde est d’accord pour trouver ça sexy. »


Evidemment ça m'a fait tilter. Parce que oui, moi aussi j'ai un casque, et oui, moi aussi je trouve ça trop fashion de la life. Mais plus que fashion, je trouve ça génial, dans tous les usages du casque. Je n'avais jamais été autant isolée en écoutant de la musique, et je n'avais jamais été plus contente de faire l'autiste en sortant de Pipo, du genre oreilles bouchées, tête baissée, partons vite partons loin (hum). J'ai été surprise par la qualité d'insonorisation : je n'entends plus arriver le métro, et par la même occasion je n'entends plus les vieux dragueurs de service (eh mad'moiseeeelleuh !), et en plus, j'écoute de la musique trop hype, vu que j'ai refait il y a peu ma sélection (oui parce que bon, Dalida et Julio, ça va bien hein)


du coup, dernièrement j'écoute (et vous recommande, of course - les links sont mes préférées)


Kate Nash, Made of Bricks (connue, je sais)

Feist, The Reminder (connue aussi, je saiiiiis)

LCD Sound System, Sound of Silver (non, je n'écoute pas QUE NYILY !)

Sebastien Tellier, Politics (eurovision fever)

Cocoon, My friends all died in a plane crash (sympaaaaa comme titre)

Kings of Convenience, Riot on an empty street

Moriarty, Gee whiz but this is an lonesome town

Gary Jules, dont je n'ai trouvé que Youtube pour vous linker Falling Awake...


et, au niveau podcasts (parce que oui, j'ai ENFIN découvert la merveilleuse utilité des podcasts) :

Masse Critique, l'émission de Frédéric Martel sur France Culture.


Voilà voilà. Dis comme ça, ça fait peut-être un peu trop bobo-hypisante un tantinet prévisible, mais ranafoutre, c'est comme ça, et c'est tout.

jeudi 20 mars 2008

La Journée des Macarons


Si vous suivez ce blog depuis un an (ou pas, vous me direz, mais bon, on va faire comme si, hein), vous vous rappelez peut-être que, le 20 mars dernier, c'était déjà le Jour du Macaron. Eh bien cette année, rebelotte, et, gourmande que je suis, je suis donc aller faire gentiment la queue chez Pierre Hermé, rue Bonaparte.


J'ai voulu faire original, et je me suis laissée tenter par quelques nouveautés (bon, ok, des irréductibles de chez PH, mais je suis plutôt classique-ladurée, dans le genre...)


Eglantine, Figue et Foie Gras : LA révélation. Le macaron est recouvert d'une poussière dorée, qui reste un peu sur les doigts une fois qu'on l'a terminé. Et le must : il y a un VRAI morceau de foie gras, au centre.


Mandarine & baies roses : ok, celui-là je l'ai choisi pour son nom. Il était un peu trop acidulé, mais certes, très joli. Et la mandarine confite, c'est booon.


Carrément Chocolat : ben oui, j'allais pas me priver d'un bon vieux classique, mon préféré !



Et en plus, cette jolie journée est accompagnée d'une oeuvre caritative :


si on fait un don à l'association Fédération des Maladies Orphelines, on obtient un macaron supplémentaire, framboise-chocolat, qui est,lui aussi, très bon....


lundi 17 mars 2008

Péripéties paperassières (vol. 1)


Aujourd'hui, j'ai rendu visite à l'homologue masculin et anglophone de Simone la Secrétaire, j'ai bien nommé Simon, le chef des échanges franco-américains, au Centre des Amériques (tu parles, on voit même pas la séparation avec le Centre Asie).


J'étais toute guillerette d'y aller, au départ, puisque pour cela je devais, oh malheur, rater les premières minutes du merveilleux cours de HV, que nous avons déjà évoqué. Sauf que j'étais loin de me douter que c'était l'intégralité du cours que j'allais rater.


Ehhh oui, parce que vous comprenez, au centre des Amériques, c'est désert avant 11h du matin, faut pas déconner non plus, maintenant qu'on est tous affectés n'importe comment (je ne me plains pas, et je ne parle pas de moi, je dis ce qui est, c'est tout – Simon ayant même révélé à quelqu'un « vous savez, il y a des gens trèèès puissants qui connaissent des gens trèèès puissants » – mais que fait l'UNEF ?!), il ne vont pas EN PLUS nous expliquer comment constituer nos dossiers, hein.


Bref, mes meilleurs amis dudit Centre étaient tous enfermés dans leur salle de réunion, à discuter restos-bon plans (eh oui, les chéris, ça s'entendait à travers la porte). Et puis, vers 11h15, ils ont daigné sortir, celle qui avait l'air d'être la Simone-en-chef nous gratifiant d'un « DESOLEE » hautement ironique.


Vers 11h30, j'avais refourgué tous mes papiers en bonne et due forme à Simon, et j'ai enfin pu rejoindre la bibli, tu parles d'une matinée. Mais ce serait peu, si seulement ça ne venait pas s'ajouter aux péripéties crédit-lyonnaisques de vendredi dernier, puisqu'après une heure et des poussières de lutte avec mon banquier j'ai finalement obtenu une garantie banquaire en français adressée à mes parents, au lieu d'un financial statement adressé au College (mais oui c'est normal, c'est pipo, c'est bonheur).


Et sans oublier non plus le téléphone et l'email dudit Simon qui doit être en panne, car j'ai eu beau laisser 3 messages et 2 emails, il ne m'a toujours pas rappelée... Tout ça s'étant soldé (vous connaissez ma gentillesse habituelle) par un message incendiaire, qui se terminait par


« Bon, écoutez, j'espère que j'aurais de vos nouvelles avant le jour de mon départ, HEIN !!! »


Et toc.

Au prochain épisode, Ana refait son passeport.

dimanche 16 mars 2008

I belong to the 70s


Soirée Eurock This Party, jeudi dernier, thème disco.

Il y avait longtemps que je ne m'étais pas autant amusée, en soirée.


Tout est une question d'état d'esprit. Inconséquence, vive la danse - un verre de vodka plus loin, tout va bien. Robe à paillettes, cheveux gonflés, yeux maquillés, plein de compliments, je le prends comment ? Bien, évidemment.


***


Finalement, les choses passent. Le temps est toujours aussi maussade, mais mon humeur s'améliore. Je n'ai plus cette sensation horrible d'avoir tout le temps oublié quelque chose, a part ma tête et mon interro de Mr Schwarzkopf demain à l'aube.


I'm longing for London, et pour Aix en Provence, dans si peu.

mercredi 12 mars 2008

edit / AAAAAHHHHHHHHHHHHHHHH

Je CONTINUE de passer des journées pourries.

1. Simone ne veut pas me faire la traduction en anglais de mes notes pour mardi, date à laquelle je dois rendre mon dossier pour Vassar, c'est 15 jours minimum, donc j'ai plus qu'à le faire moi même, en espérant qu'ils s'en fichent que ce soit non certifié

2. il fait un temps pourri et c'est marre

3. je viens de me rendre compte que j'ai passé la matinée avec mon gilet mis à l'envers

4. j'en ai marre du boulot, de scpo, des gens, de la vie (ouais nan qd mm pas)

5. edit : *quelqu'un* est une pauvre tâche

6. j'ai toujours pas de STAGE et je veux pas de JOB pour juillet, mes dernières sources s'épuisent, j'en suis réduite à supplier Mr Schwarzkopf de m'embaucher pour faire des photocopies

7. edit : ai retrouvé mon parapluie. C'est toujours ça de pris, mais mes journées sont toujours aussi pourries

dimanche 9 mars 2008

Meet The Teachers


En cette semaine de rentrée, on a rencontré, évidemment, plein de nouveaux profs. Malgré les nombreux cours annulés (au sujet desquels nous n'avons, parfois, toujours pas eu de nouvelles...), on trouve déjà un bon apanage de spécimens divers et variés, et entre les cours magistraux et les conférences de méthode, mon coeur balance...


Cours Magistraux


Grande révélation : H. V. (par précaution nous tairons les noms) est assoupissant au possible. Il parle pour lui, lit son texte sans nous laisser le temps de noter, et nous apprend des lapalissades (i would quote : « du XV au XIX siècle, c'est une période de progrès !!! » vous savez ça ? Bon, vous savez les trois quarts de son premier cours)... du coup, j'ai quelques doutes sur ses talents de ministre des affaires étrangères, parce que niveau conviction, hein... M'enfin, ne soyons pas mauvaise langue, on verra les cours suivants, avant de se résoudre, en dernier lieu, au séchage intensif.


J. P. (nan pas Jean Pierre) est, lui, au contraire, passionnant, pour cette matière qui ne me disait rien (« histoire et droit des Etats », tout un programme...). Tout le monde murmure au sujet d'une fameuse « fiche de relecture », dont la teneur et l'utilité me sont encore inconnues.


Quant au cours de sociologie (qui ne s'appelle toujours pas « sociologie » mais « comportements, attitudes et forces politiques en France et en Europe »), il s'est avéré fidèle à celui du premier semestre, et les grands noms de la matière nous feront cours tour à tour, donc que demande de plus le peuple ?!


Conférences


Monsieur Schwarzkopf, en Vie de L'Entreprise (j'aiiiime le capitalisme – c'est un cours obligatoire, hein), non pas parce qu'il vend des shampoings, mais bien parce qu'il a travaillé chez L'Oréal, et qu'il nous a d'ailleurs gratifié d'un « oui, je suis expert, je reconnais tous les types de cheveux : gras, fins, mêchés, à pellicules... » (et toutes les nanas de se passer la main dans la crinière, en se disant « purée j'espère que j'ai les cheveux proooopres »). Enfin, le bon point, c'est qu'on rencontre le directeur du recrutement de ladite boîte number one au ranking des pipo-aspirations...


Madame Je suis plus intelligente que vous croyez, en socio, qui prétend pouvoir déceler le plagiat à l'oral, car vous comprenez, elle connaît très bien tous les gens qui ont écrit sur nos sujets de travail...


Madame I am a lawyer, pour le cours in english sur la citoyenneté européenne, dont la tête était à mourir de rire quand à la phrase « So you've read the first text of the reader », elle a eu une soixantaine de « what reader ??? » en choeur...


Monsieur du Barça en espagnol, que je connais déjà du semestre passé, et qui était tromignoooooong quand, en se présentant il nous dit : « je suis à mort du Barça. Enfin, non, je ne suis de rien « à mort »... sauf de ma fille. » ahhhhhhhhhhhh et toutes les nanas de fondre en choeur.


Madame mon idole, en anglais, because j'adore cette fille, un mélange entre Mary Poppins et la fille du tableau La Cravate Noire de Modigliani (ci-dessus), qui nous fait de loin les cours d'anglais les plus intéressants que j'ai eu depuis la 5ème...



Voilà, j'ai eu deux cours annulés, donc c'est tout pour l'instant !

mercredi 5 mars 2008

Viens dans ma secte, viens !


Aujourd'hui, assommée par l'odeur d'humidité du livre de 500 pages écrites en tout petit que je dois lire en Histoire et Droit des Etats (tout est dans le titre de ce cours, hein... mais je vous en parlerai mieux en fin de semaine), j'ai profité d'un éclat de soleil entre deux de ces détestées giboulées dont on bénéficie grandement en ce moment pour faire un bout de chemin à pied.


Je n'ai pas pris mon cher bus 63, mais un autre, à Odéon, et suis descendue à Bastille. Eh ben, franchement, je n'aurais pas dû. Quoique, je crois que quelque part je peux dire que l'expérience vaut le détour, mais alors un seul détour, hein.


Je n'avais pas fait dix mètres qu'un type m'arrête « mademoiseeeeeeeelle, vous avez cinq minutes ? » bonne âme que je suis, je les ai. « Vous voulez bien venir faire un petit test sur le stress ? », boah j'ai bien testé un parfum une fois rue de Rivoli, alors un test sur le stress, qu'est-ce que ça change ? Et puis, je me suis aussi dit que, si un jour ça devenait un de mes petits boulots, ça me saoulerait grave que personne ne s'arrête jamais.


Là où ça se corse c'est quand je découvre que le bâtiment duquel il m'ouvre la porte est décoré d'un immense panneau où il y a écrit Scientologie. Oui oui, en toutes lettres, S.C.I.E.N.T.O.L.O.G.I.E.


Premier réflexe « mamaaaaaaaaaaaan, casse toi en courant ma fille, tu connais ça depuis les premiers cours d'éducation civique au college : scientologie = secte = grands méchants malades »


Second réflexe « non mais c'est bon, ils vont pas t'envouter non plus. Va voir, de toutes façons t'es pas conne, tu sais très bien que tu diras non, et au pire tu l'assommes avec "Naissance de la nation France" et tu te casses en courant... » (ouais, je sais, je vais loin)


troisième réflexe « il est où Tom Cruise ? » (non, ça c'est juste pour rire)


Bref, donc le gars m'amène dans une pièce où il y a une petite machine bizarre supposée détecter mes variations de stress. C'est là que le jeu commence, et c'est là où je me rends clairement compte que je ne crains rien.


Il commence « de toute façon je suppose que vous ne savez pas ce qu'est le stress, exactement. » « Une réaction nerveuse due à des événements extérieurs ? » « euhhhh oui, effectivement... ».


« Bon, c'est simple, pensez à une personne... ouaaaaah mais vous êtes stressée dites donc, c'est qui » « euh... un garçon ? » (loool) « ah mais racontez moi, il se passe quoi avec ce garçon ? » « mais c'est que, comment dire, j'ai pas spécialement envie de vous raconter ma vie »


« Ok alors pensez à une autre personne... ouaaaaaaaaaah mais vous êtes encore stressée dites donc, c'est qui » « euh... un proche décédé » (je me suis dit, autant prendre les extrêmes hein) « ah oui non bon là c'est sûr, on peut rien faire...»


« Bon, pensez à vos études... ouaaaaaaaaaah mais vous êtes aussi stressée dites donc, ça va pas à ce niveau ? » « ben si » « vous faites quoi ? » « Sciences Po » « Ah oui. » (ahahah j'adore user de l'effet douche froide, une fois de temps en temps)


« Ouais enfin il doit bien y avoir quelque chose qui vous pourrit la vie, qui vous empêche d'être au maximum de vos capacités, qui vous déprime, non ? » « euh... non... » « Mais vous aimeriez bien que votre vie soit plus simple, plus facile, que vous ayez plus d'assurance, tout de suite, non ? » « Ben non, moi je trouve que je suis jeune, que j'ai le temps de l'acquérir par moi même, que ça fait partie de la vie, et que c'est pour ça aussi qu'elle est belle » « ah. »


Bon, vous avez compris, il a un peu rapidement déchanté. Il m'a quand même fait la super promo de son livre, et du dvd (« au cas où vous aimeriez pas lire ») et il m'a même passé un super test de personnalité, à remplir chez moi comme une grande et à rapporter pour qu'on me prépare le résultat pendant que je regarde un petit film... Ouais, c'est ça ouais.

dimanche 2 mars 2008

I went to the movies



Pour finir les vacances, je fais enfin cet article sur les films que j'ai vus et dont je voulais vous parler. Après Into The Wild, j'ai vu



je ne vous répèterai pas tout ce qui a déjà été écrit sur le sujet, alors en quatre mots comme en mille : allez voir ce film ! Léger, sarcastiquement drôle, qui n'est pas le plaidoyer pro-life qu'on pouvait craindre ici, quand Juno, enceinte à 16 ans, refuse de se faire avorter, et préfère trouver une famille d'adoption pour le futur nouveau-né... Grand plus : la musiiique ! Anyone Else But You des Moldy Peaches n'a pas été sans me rappeler l'été passé à Lakanal...



Charles m'avait prévenue, mais je suis pourtant quand même allée voir ce film... ...et il avait raison : il est décevant. A côté de la magie et de l'envie de sourire que provoquent chez moi L'Auberge Espagnole et Les Poupées Russes, Paris semble bien sombre, avec une histoire peu ficelée, aux accents gauchisants un peu trop attendus. Ok, il y a des gens tristes à Paris, comme ailleurs, et il y a aussi des gens mourants, mais même si la vie est dure, elle n'est pas non plus que ça !



Pas au cinéma, mais à voir comme vous pourrez, j'ai découvert ce film un dimanche soir alors que le streaming était encore (presque) légal, et j'ai adoré. Ce n'est pas une histoire d'amour, plutôt une histoire de famille. Comment on peut s'apprivoiser, apprendre à se connaître, en passant outre, ou en ignorant encore, les liens du sang. John Travolta y est étonnant de justesse, dans son rôle de vieux bourru, et Scarlett Johansson rentre parfaitement dans la peau de la fin d'adolescente qui se cherche... et finit par se trouver.