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vendredi 20 juin 2008

Comment te dire Adieu ?


Depuis quelques jours déjà, je vais de derniers cours en diners de fin de conf, en passant par les apéros d'au revoir, sans compter les cinq soirées de fin d'année déjà prévues durant les deux petits jours du dernier weekend de juin.


Mercredi dernier n'a pas fait exception à cette nouvelle règle, avec pour commencer, le dernier cours de l'année à l'école du Louvre. Avec cette dernière séance un peu décevante sur l'Art Contemporain s'est finie une année de mercredis soirs passés à apprendre plus ou moins de choses sur l'histoire de l'art... ...depuis la préhistoire, jusqu'à aujourd'hui. Vaste programme, c'est vrai, pour des sessions d'une heure et demie, où l'intérêt, proportionnel à la qualité d'animation et d'expression des intervenants, a été assez variable. Faut dire, aux profs snobisants nous prenant pour des incultes, et à ceux qui se contentaient de nous montrer une succession d'oeuvres avec noms et dates pour toute information, j'ai largement préféré ceux qui proposaient des cours un peu plus structurés. Parmi mes favoris, les deux sessions sur l'art roman et gothique, celles sur la Chine, et celle sur le passage du romantisme au réalisme, sans oublier en tête ma période préférée : celle des Avant Gardes.


Le Louvre fini, j'ai continué la soirée sur le typique Pont des Arts, où le BdA avait délocalisé ses nappes en Vichy, vestiges du fooding passé. Boursin, rillettes, tomates-cerises et même champagne étaient de mise pour fêter une équipe et une année qui s'en vont, et d'autres qui arrivent... La soirée fut, eh bien, évidemment, fort alcoolisée, mais tellement drôle ! Et pleine de souvenirs, d'amitiés et de projets. Bref, des nuits comme ça, j'en voudrais tous les soirs...


Voilà pour aujourd'hui... et pour finir sur une petite note musicale, la version particulière de Daniel Darc de cette chanson trop entendue...







Découvrez Daniel Darc!

lundi 16 juin 2008

Je pouffe, tu pouffes, il pouffe...



C'est quoi encore ce gros coussin, rose comme d'hab' ?... Eh oui, encore un vestige de la Semaine des Arts. (on est bien partis, eh oui, je vais encore vous bassiner avec ça, haha)


Alors je vous arrête tout de suite : ce gros coussin, ce n'est pas un coussin, c'est THE coussin, ou disons plutôt THE pouf, quoi que, je ne sais pas trop au juste, puisque cela avait occasionné un vrai débat du temps où l'on s'échangeait une bonne centaine de mails par jours à nous huit, et dont je vous met ces extraits qui trainent encore dans ma boîte de réception (que je suis en train de nettoyer de ses 1.200 mails, hein, il commence à être temps !) :


F. a écrit :
Mon père a bien réceptionné les poufs.
Sauf que c'est pas des poufs, c'est normal ?
Apparemment c'est plutôt des gros coussins plats...

A. a écrit :
c'est quoi la différence entre pouf et gros coussin plat ?

L. a écrit :
je sais pas. Florence a du être belge dans une autre vie.

F. a écrit :
Mais trop pas vous avez jamais vu des vrais poufs ou quoi?
whatever


Enfin, revenons-en à nos moutons, donc, les Loftbags, Fatboys et autres marques similaires, qui sont, et de loin, la pire invention design du moment. Je n'ai toujours pas compris le pourquoi du comment matérialo-technique qui les rend si géniaux, mais le fait est que, dès qu'on s'y pose, ils prennent une forme qui nous met si à l'aise qu'il est impossible de s'en relever...


...Et vu qu'ils n'ont toujours pas été rendus à leurs aimables propriétaires depuis le prêt pour la sda, pour des raisons logistiques obscures (ie des poufs trop grands, et des emballages introuvables), on en profite tous un maximum, les petits porte-monnaies et restrictions budgétaires ambiants en milieu étudiant ne nous permettant évidemment pas de nous offrir une de ces merveilles qui restent, il faut bien le dire, hors de prix (presque 200€... paye ton coussin, paye !).


En attendant, entre deux cours et trois dissertes, les assoupissages y deviennent de plus en plus fréquents. J'en veux d'ailleurs pour preuve ma productivité largement revue à la baisse ces dernières semaines malgré les partiels imminents, et notamment la matinée que j'y ai passée aujourd'hui, au lieu d'aller d'ailleurs écouter pour la dernière fois HV...

samedi 31 mai 2008

Enfin fini...

Je ne sais pas par où commencer. Il y a eu tant de choses. C'est passé à une vitesse. Ce serait trop compliqué de tout vous dire, de tout vous écrire, de tenter de vous faire comprendre. Il aurait fallu que vous y assistiez, que vous sentiez l'ambiance, que vous voyiez la transformation, le changement, l'esprit et l'atmosphère particulière de l'événement.

Mais, pour faire bref, j'aurai, cette semaine, fait de la billetterie, découpé des brownies et réparti des macarons, vendu des tickets d'alcool à la soirée, aidé à brancher des sonos, peint et porté des étagères cartonnées le long du boulevard Saint Germain, assisté à une comédie musicale plus que digne de ce nom, lu des magasines so trendy en écoutant des compiles des Inrocks, dormi et souri à Lolo, allongée la tête à l'envers dans un des loftbags colorés, vendu des dizaines de t-shirts I love appariteurs, lancé des Richie dollars du haut de l'amphi Boutmy...

Mon corps porte encore les traces des nuits écourtées, d'avoir couru d'un endroit à l'autre pour des broutilles ou des problèmes à gérer, de m'être cognée ici et là, d'avoir porté et d'avoir tiré, et ma tête réfléchit encore à la force et à l'énergie que nous avons brassé, aux relations qui nous liaient et à comment elles ont évolué, à toutes ces émotions qui nous ont tous, tour à tour, traversées.

Au risque de paraître naïve, je crois qu'il faut aussi que je vous dise que, cette semaine, j'ai, simplement, un peu vieilli.

mercredi 21 mai 2008

mercredi 16 avril 2008

En retard...


Je suis en retard de blog, et pour plusieurs raisons.


D'abord, je ne sais plus. Je ne sais plus ce que j'ai envie d'écrire, je ne sais plus jusqu'à quel point j'ai envie d'être lue. J'hésite entre ne faire qu'érafler mon quotidien de temps en temps, comme des morceaux choisis, ou alors au contraire laisser lire ce que j'ai envie de dire, mais qui est parfois bien trop perso, pour ne pas être anonyme. Bref, équilibre en perdition. On verra.


Ensuite, la Semaine des Arts me prend... ...tout mon temps. Et j'adore ça. On appelle, on maile et on rencontre, mais aussi on plaquettise, scénographise et support de communicationnise. On devient rodés niveau speach de présentation, et on fait des progrès en argumentation orale. Après les faiseurs de macarons il y a deux semaines, demain j'affronte le producteur d'orangeades branchouille on my own.


On découvre aussi les rouages de l'assoc', ainsi que les voix plus ou moins impénétrables du Piporéseau. On fait des réunions jusqu'à pas d'heure les mardis soirs, et nos potentiels de geeks explosent entre les google spreadsheets, les 140 mails du weekend, les myspaces, les trucs et astuces des websites de prestataires, sans oublier ce satané wifi qui, quand il veut bien marcher, nous est bien utile pour rester connectés.


Bref, une vraie petite machine à nous tous seuls, et un projet qui commence à prendre forme, sous l'égide de nos cocos (co-coordinateurs), affectueusement (auto)surnommés Papa et Maman...


En photo, le magic-trombi du BDA

Et à venir, le best of de nos 58 mails diurnes (et 182 nocturnes).


dimanche 30 mars 2008

BDA's SDA

Dernièrement, à Sciences Po on ne me voit pas, et notamment pas dans ma chère salle des collections, dont je vous disais tant. Outre mes penchants d'autiste de plus en plus développés (moi ????), mes exposés qui s'empilent et mes amis hors-pipo, si on ne me voit pas, c'est surtout parce que je passe ce semestre la plupart de mon temps (libre) au Bureau des Arts. Et au BdA, en ce moment, on vous concocte ça :


Le site a ouvert aujourd'hui, il est tout nouveau tout beau, alors si jamais vous avez des idées / suggestions / propositions ...