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samedi 19 juillet 2008

Les beaux yeux de Laure

Pendant que je profite des plaisirs de vivre seule pendant deux semaines, et que le départ se fait de plus en plus proche, je vous laisse ce weekend avec cette vidéo que j'adore, et que j'ai dû regarder une bonne dizaine de fois ces derniers jours.

Les paroles ne sont pas exceptionnelles, limite un peu ringardes, mais c'est ça qui les rend drôle, I would quote : "Laure a les yeux rougis par le chlore, mais elle revient pas d'la piscine alors" ... ! Et puis bon ... ... Alain Chamfort quoi, qui comme il le rappelle si bien, a écrit Manureva, et après ?!

Mais, le clip est génial, reprise de Dylan (?) ou non ... reste à savoir s'ils l'ont vraiment tourné en une heure, ou pas !





dimanche 13 juillet 2008

Quatre consonnes et trois voyelles ?




Tout le monde en parle, alors le mouton que je suis a décidé de vous en parler aussi. De quoi ? Du nouveau disque de Mme Sarkozy. Il faut dire qu'il crée l'événement, entre les fuites organisées du mois de juin dans le Figaro, les contestations de Télérama rayé au dernier moment de la liste des happy fews qui ont pu interviewer Carla, et l'émeute provoquée par son apparition dans Libé...


On pouvait écouter le disque gratuitement depuis quelques jours sur le site de la Première Dame de France, mais comme il fallait donner nom et coordonnées, j'ai préféré attendre, comme tout le monde, jusqu'à vendredi dernier. Et après son passage pitoyable au journal de 20h, sous les questions pathétiques de Claire Chazal qui n'ont fait que répéter ce que l'on sait déjà, je me suis donc dirigée vers Deezer, où elle est bien sûr à la une... ...mais quand même pas comme sur Jiwa, où elle est carrément le « coup de coeur » (j'ai envie de dire : ça va vous voulez pas lui cirer les pompes aussi ?)


Mais cessons là les commérages de bas étage, et intéressons-nous plutôt au contenu, puisque Carla reste une chanteuse, donc à écouter comme une autre... Alors que la plupart des gens soulignent malgré tout son talent, j'ai envie de vous dire que, pour moi, c'est : grosse déception.


Nul, nul, nul ! J'hésite entre mourir de rire et mépriser de consternation des phrases comme « malgré mes quarante ans, malgré mes trente amants, je suis une enfant », ou le fameux « tu es ma came » dédié à Nico. Un disque aussi assoupissant que les deux premiers, pas très original, et où elle prétend avoir surtout mis sa voix en avant, mais elle n'a pas de voix, donc bon ! Sans parler du massacre qu'elle a fait de You belong to me, à l'origine de Bob Marley, mais surtout si bien chantée par Jason Wade...


Bon, d'accord, toutes mes critiques mises de côté, j'ai quand même trouvé une chanson qui me plaît. C'est celle qui a été faite avec l'aide de Julien Clerc, Déranger les pierres, et dont les paroles, et la mélodie, me touchent pour de bon.


Mais une belle chanson sur quatorze, ça reste quand même un score assez pitoyable, hein. (jadore quand je suis aussi objective ah ah ah)

lundi 23 juin 2008

My Brother is a Rock Star (enfin, il voudrait bien, quoi)

.

Voilà une vidéo qui en réjouira plus d'une... Spéciale kass-dédi à S., comme dirait l'autre. Mon frangin en grande pompe qui se la pète avec sa guitare (mais bon pour quelqu'un qui a commencé la guitare il y a six mois, j'ai envie de dire : il gère !!)





Et, comme c'est un jeune de son temps (MDR),
il a même... ...un skyblog.

dimanche 22 juin 2008

Electro kitchened up


La fête de la musique n'est, somme toute, qu'une occasion de plus de faire la fête. Et quand la rue est transformée en juke box géant, de plus ou moins bonne qualité, c'est vrai, mais juke box quand même, on ne va tout de même pas se plaindre...


Hier soir, j'ai donc commencé par écouter Chloé. Tradition quand tu nous tiens, me direz-vous, et puis plaisir surtout, pour ce concert avec la nouvelle mention batteur dans un bar du Marais, le dernier avant que je ne parte...


Et puis, suite et fin de soirée pas très loin, dans la petite rue Quincampoix, que My Electro Kitchen avait plus ou moins transformée en boîte de nuit pour la soirée, avec mix à volonté. Il ne m'a pas fallu beaucoup pour entrer dans la transe,...


... je me suis laissée danser, me suis laissée divaguer, j'ai tout oublié, n'ai plus pensé à rien, à rien ni à personne, au milieu de la foule, sans trop même m'en rendre compte, en réalité...


...and it felt so good !

vendredi 20 juin 2008

Comment te dire Adieu ?


Depuis quelques jours déjà, je vais de derniers cours en diners de fin de conf, en passant par les apéros d'au revoir, sans compter les cinq soirées de fin d'année déjà prévues durant les deux petits jours du dernier weekend de juin.


Mercredi dernier n'a pas fait exception à cette nouvelle règle, avec pour commencer, le dernier cours de l'année à l'école du Louvre. Avec cette dernière séance un peu décevante sur l'Art Contemporain s'est finie une année de mercredis soirs passés à apprendre plus ou moins de choses sur l'histoire de l'art... ...depuis la préhistoire, jusqu'à aujourd'hui. Vaste programme, c'est vrai, pour des sessions d'une heure et demie, où l'intérêt, proportionnel à la qualité d'animation et d'expression des intervenants, a été assez variable. Faut dire, aux profs snobisants nous prenant pour des incultes, et à ceux qui se contentaient de nous montrer une succession d'oeuvres avec noms et dates pour toute information, j'ai largement préféré ceux qui proposaient des cours un peu plus structurés. Parmi mes favoris, les deux sessions sur l'art roman et gothique, celles sur la Chine, et celle sur le passage du romantisme au réalisme, sans oublier en tête ma période préférée : celle des Avant Gardes.


Le Louvre fini, j'ai continué la soirée sur le typique Pont des Arts, où le BdA avait délocalisé ses nappes en Vichy, vestiges du fooding passé. Boursin, rillettes, tomates-cerises et même champagne étaient de mise pour fêter une équipe et une année qui s'en vont, et d'autres qui arrivent... La soirée fut, eh bien, évidemment, fort alcoolisée, mais tellement drôle ! Et pleine de souvenirs, d'amitiés et de projets. Bref, des nuits comme ça, j'en voudrais tous les soirs...


Voilà pour aujourd'hui... et pour finir sur une petite note musicale, la version particulière de Daniel Darc de cette chanson trop entendue...







Découvrez Daniel Darc!

lundi 9 juin 2008

About Today


(enfin cet article sur ma musique du moment, avec bien du retard c'est vrai, mais les excuses je crois ne servent plus à rien ; je suis donc en retard, point.)


Au Menu Aujourd'hui :


plein de chanteurs à la voix grave, faut croire que c'est la faute à Miossec, faut croire aussi que c'est la faute à la mode.


# En entrée :


J'irai au Paradis du dernier album de Daniel Darc

Who built the Road d'Isobel Campbell et Mark Lanegan (la seule chanson qui vaille vraiment la peine de l'album)


(Par contre, pour des raisons que je ne saurais m'expliquer, si ce n'est qu'elles n'y sont pas disponibles, je ne trouve pas ces chansons sur deezer, et vous conseille donc de les écouter sur jiwa, mais là c'est l'inverse je n'ai pas encore trouvé comment faire le lien.... ...breeeeef)


# En plat principal :


The National

j'ai tout de suite beaucoup aimé ce groupe que, je n'ai pas honte de l'avouer, j'ai découvert dans la BO de l'épisode final de la saison 4 de Grey's anatomy (OUAIS BON). Si leur dernier album, Boxer, dont même Télérama parle n'est pas mal, je lui préfère largement Sad Songs For Dirty Lovers (oui oui oui je sais je suis prévisible), notamment celle-ci et celle-là. Mais surtout, surtout, SURTOUT, j'aime, que dis-je, j'adore leur EP Cherry Tree, notamment All Dolled-Up In Straps, ou Reasonable Man (I don't mind), sans compter que je suis totalement fan de About Today (c'est sur celle là notamment que s'est abatue ma monomaniaquerie musicale habituelle), bref, en gros, de tout l'album, quoi...


(ce que j'aime, c'est que je suis très objective comme fille).


# Et en dessert :


quelque chose qui n'a rien à voir, mais pourquoi ne pas finir sur quelque chose de différent, un bon vieux classique, comme un macaron chez Ladurée, ou un mi-cuit au chocolat aux Editeurs, mais bref, Dis, quand reviendras-tu, de Barbara, qui, depuis qu'elle a été reprise par une illustre inconnue pendant la semaine des arts, est restée calée au fond de ma tête... ...car tout le temps qui passe ne se rattrape guère, car tout le temps perdu ne se rattrape plus.

samedi 17 mai 2008

Tell me about Tellier


En ce moment aussi, j'écoute Sebastien Tellier à tout bout de champ. C'est d'un commun, vous me direz. Mais bon, en fait, ça fait un bout de temps. Depuis que D. m'avait envoyé La Ritournelle, il y a 6 mois de ça, et qui m'a fait écouter d'autres choses de lui, depuis.


Je voulais en parler avant, mais tout le monde s'est mis à écrire sur lui, que ce soit Greg' ou Pek, ou encore bien d'autres, et s'ensuivaient souvent des discussions et des commentaires sans fin (bon, ok, une trentaine quoi), tête à claque fumiste versus artiste branchouille caméléon.


Eh bien moi, j'aime absolument tout. J'aime beaucoup Politics, et j'aime tout autant, sinon plus, Sexuality. Et puis, est-ce qu'on ne s'en fout pas, du genre qu'il se donne, et de si sa musique ressemble à du Jarre sexuel peu évolué remixé par un demi Daft Punk ? (oui, bon, les critiques sont un peu plus développées, mais en gros, c'est l'idée, hein). L'essentiel, c'est l'atmosphère, les sensations qui s'en dégagent, non ? Enfin, en tous cas, c'est comme ça que je conçois la musique, et pour une fois, ce n'est pas de chansons à textes que je suis tombée amoureuse, mais bien de l'ensemble.


Donc, j'aime, parce que sa musique me fait complètement planer, et parce que c'est un personnage décalé juste comme il faut, avec sa clope allumée dans le nez, qui me fait rire. La preuve en images, il y a peu, chez Ruquier.






dimanche 20 avril 2008

Nancy Sinatra is Wicked cool


Je vous l'avais déjà dit, I belong to the 70's. Maintenant encore plus, depuis que je suis sortie de mon cycle maniaco-dépressif avec écoute intensive de Damien Rice, et que je suis passée à l'idolâtrie de Nancy Sinatra (enfin, de ses chansons).


Manque de chance, les chansons que je préfère ne sont disponibles ni sur deezer, ni sur youtube, ni sur rien du tout, où par contre on trouve à pâmoison de nombreuses versions et ré-interprétations de Bang Bang parfois des plus douteuses (mais bon j'aime bien Renan Luce malgré ce massacre), qu'on n'a pas vraiment cessé d'entendre depuis Kill Bill. Et puis mes talents croissants de geekette ne sont pas encore développés au point de savoir mettre en ligne les chansons de ma discothèque virtuelle.


Toutefois, vous trouverez ici une quantité non négligeable de chansons à écouter, parmi lesquelles les traditionnelles These Boots Are Made For Walking et How Does That Grab You, Darling ? mais aussi Sugar Town, ainsi que God Knows I Love You.


Et si jamais vous avez l'occasion, ne manquez pas d'écouter

I love them all (the boys in band)

Did you ever (en duo avec Lee Hazlewood)


et surtout surtout surtout

Kind Of A Woman



* Well I'm a sweet smelling, truth telling, city dwelling kind of a woman...*

lundi 24 mars 2008

Headphone Girl


Je lisais l'autre nuit sur LadiesRoom (une fois n'est pas coutume...) un article sur les headphones. Oui, les gros écouteurs méga-trendys, là. Et l'article disait, notamment :


« Et puis sont apparus les casques. D’abord réservés aux ouvriers conducteurs de grues, aux aiguilleurs du ciel et aux DJ qui en ont fait une attitude de la night (qui ne rêve pas de porter un bon gros Sennheiser sur une seule oreille, en laissant l’autre libre pour pouvoir caler le morceaux suivant, la tête penchée et dans un mouvement de l’épaule remontée très très technique et très très sensuel?), le casque est devenu du jour au lendemain l’accessoire branché de tout un chacun, de l’étudiant avachi direction Jussieu au jeune beau du 16ème qui fait attention à ne pas froisser son pardessus direction La Défense, en passant par des gamins tecktoniks direction Châtelet. La minette à frange et en bottes camel vintage s’y est aussi mise, et tout le monde est d’accord pour trouver ça sexy. »


Evidemment ça m'a fait tilter. Parce que oui, moi aussi j'ai un casque, et oui, moi aussi je trouve ça trop fashion de la life. Mais plus que fashion, je trouve ça génial, dans tous les usages du casque. Je n'avais jamais été autant isolée en écoutant de la musique, et je n'avais jamais été plus contente de faire l'autiste en sortant de Pipo, du genre oreilles bouchées, tête baissée, partons vite partons loin (hum). J'ai été surprise par la qualité d'insonorisation : je n'entends plus arriver le métro, et par la même occasion je n'entends plus les vieux dragueurs de service (eh mad'moiseeeelleuh !), et en plus, j'écoute de la musique trop hype, vu que j'ai refait il y a peu ma sélection (oui parce que bon, Dalida et Julio, ça va bien hein)


du coup, dernièrement j'écoute (et vous recommande, of course - les links sont mes préférées)


Kate Nash, Made of Bricks (connue, je sais)

Feist, The Reminder (connue aussi, je saiiiiis)

LCD Sound System, Sound of Silver (non, je n'écoute pas QUE NYILY !)

Sebastien Tellier, Politics (eurovision fever)

Cocoon, My friends all died in a plane crash (sympaaaaa comme titre)

Kings of Convenience, Riot on an empty street

Moriarty, Gee whiz but this is an lonesome town

Gary Jules, dont je n'ai trouvé que Youtube pour vous linker Falling Awake...


et, au niveau podcasts (parce que oui, j'ai ENFIN découvert la merveilleuse utilité des podcasts) :

Masse Critique, l'émission de Frédéric Martel sur France Culture.


Voilà voilà. Dis comme ça, ça fait peut-être un peu trop bobo-hypisante un tantinet prévisible, mais ranafoutre, c'est comme ça, et c'est tout.

mercredi 27 février 2008

Ma chambre

C'est parti d'une réflexion de Valentin, sur msn : "t'as fini de ranger ta chambre ??? la question qui rode sur toutes les lèvres". Alors, même si je doute qu'elle soit vraiment sur toutes les lèvres, eh bien quand même oui, j'ai fini de ranger ma chambre.

Elle est toute belle, toute propre, toute blanche, je m'intoxique à l'odeur de peinture depuis trois nuit, et j'ai cru que je n'aurais jamais le courage de tout remonter et re-ranger, mais finalement, j'y suis arrivée ...

Au menu retrouvailles :
- mes anciennes peluches (nooooon ne les jette paaaaaaaas), et mes peluches moins anciennes (ouais vas-y, brûle là carrément, bien fait pour sa gueuuuuuuuuleeeeeeeeeeeeeeeeeee - hum restons calmes et dispos, ok ?)
- des vieux numéros du Monde Dossier et Documents (pratiquement jamais ouverts... certains encore dans le plastique, ah bah, c'est malin, tiens)
- des tonnes de poussières (à me faire éternuer 6 fois d'afilée - ouais, j'ai compté)
- des vieilles lettres ( de copines, d'amis, d'amour - ah le temps lointain et bref où l'email n'était pas encore au coeur de ma vie)
- les photos de classe collège-lycée (mouahahaha t'as vu ta tronche ? et puis les trous découpés de ceux que je n'aimais pas)
- mes premiers J'Aime Lire (Les Yeux de Salka, THE conte)


Au menu triage :
- les photos (comment ça je ne veux pas garder cette photo floue et cornée des girafes du Zoo de Vincennes ?)
- les livres (Adieu "le bac de philo pour les nuls", mais aussi certains livres de poche que je n'aime pas, que je n'aime plus, que je ne relirai plus - mais je garde, obviously, mon cher Fredbeig, contre vents et marées)
- les cours (j'ai tout jeté !... sauf les textbooks du cours d'éco de DSK, un peu pour l'orgueil, et puis mon gros classeur du bac de français - monsieur lambeeeeeeeeeeeeeeeert)


Je sais, ma vie est passionnante. Mais pour me ratraper, je vous glisse cette chanson que j'écoute en boucle, et qui a rythmé mon rangement...

free music

dimanche 10 février 2008

I'm siiiiiiiiiiiiiiinging in the raiiiiiiiiiin


Il y a longtemps que je n'ai pas reparlé de musique, vu qu'en plus je suis dernièrement atteinte de la fièvre acheteuse des disques... J'ai donc maintenant sur ma nouvelle étagère de disques trop belle (ouais bon, sur la pile à côté de mon lit) :


  • Ayo, une sorte de Bob Marley popisé, un peu répétitif et pas très original, finalement

  • Rogamar de Cesaria Evora, parfait pour mettre de bonne humeur le matin. Il y a un duo avec Cali qui rend plutôt bien ; si je devais n'en retenir qu'une, ce serait São Tomé Na Equador (que je ne trouve nulle part pour vous la linker)

  • Ne me quitte pas de Nina Simone, que je ne connaissais pas., enfin si, vaguement, par Before Sunset, mon film culte de l'année de terminale, où Julie Delpy est totalement fan d'elle. Dans ce disque, elle fait une originale reprise dudit titre de Brel, on y trouve aussi le traditionnel My baby just cares for me, et la belle version originale (merci Anaïs pour la précision) de Lilac Wine.

  • Feist, Let It Die, que j'a-do-re... Ce n'est pas le disque où il y a son fameux tube « 1 2 3 4 », mais il est tout de même très très très bien, genre du Keren Ann amélioré. C'est léger, gai, et doux à la fois, comme des fraises tagada, parmis mes préférées Mushaboom, One Evening et Tout doucement, entièrement en français (naaaan tu crois ?)

  • et aussi on devrait y trouver Frank, d'Amy Winehouse, juste parce que je ne connaissais pas, mais hum en fait il n'est pas sur la pile, because je l'ai passé à A. ...


A part ça, j'ai découvert un nouveau ouèbesaïte ! Ca s'appelle airtist, et le principe est simple : une page de pub contre un téléchargement gratuit, l'artiste étant rémunéré par l'argent de la publicité diffusée. C'est une solution comme une autre au problème du téléchargement... ...et puis on peut faire autre chose pendant la page de pub, haha.


Et sinon, je suis toujours accro à Damien Rice, mais de Accidental Babies je suis passée à The Animals were gone...

samedi 2 février 2008

Because I love her

C'est un petit bar, dans une rue perpendiculaire à la rue de la Gaité. On y vient souvent. Enfin, à chaque fois qu'elle y joue. Les gérants sont adorables – et puis ils commencent à nous connaître. Les clients sont toujours sympas, et, à la fin du concert, souvent conquis par sa voix, ils n'hésitent pas à lui dire quelques mots d'encouragement.


Le soir, c'est une atmosphère chaleureuse, tamisée, où il fait bon s'avachir dans les canapés en cuir, à la fin de la soirée, et discuter à n'en plus finir. C'est un endroit qui, avec le temps, est devenu familier. On s'y sent chez nous. Et puis, c'est là qu'elle a commencé.


Je me souviens encore de cette soirée d'hiver, où elle avait joué trois chansons à la pause d'un autre groupe. On avait bien rigolé, et puis... elle avait l'air si heureuse ! Et depuis... de plus en plus de dates, de plus en plus de projets. On n'est pas forcément très objectifs, mais on est tous fiers d'elle, et on vient à chaque fois, on ne s'en lasse pas.


Le bar

Son myspace


et ma chanson, dont je suis hypra fière :




dimanche 20 janvier 2008

Sabina




Ahhh enfin ce billet sur Joaquin. Bon, je ne vais pas vous refaire mon exposé, hein, z'aviez qu'à être en cours d'espagnol vendredi, vers 13h30. Mais pour faire bref, c'est un auteur-compositeur espagnol, du genre movida and co, qui a bercé mon enfance (merci maman), et que je continue d'aimer depuis.


Bien de gauche (genre coco), il a fait à peu près les quatre cent coups dans sa jeunesse (du genre balancer un cocktail molotov contre une banque, s'exiler à Londres avec un nom et un passeport faux, y faire publier dans le Daily Mirror que la peine de mort l'attend en Espagne, et obtenir comme ça l'asile politique, jusqu'à la mort de Franco). Le vrai succès musical a commencé dans les années 1990, avec Hotel Dulce Hotel. Après une attaque cérébrale en 2001, il a un peu déprimé, mais depuis qu'il a posé nu dans le supplément week-end d'El Pais, ça va mieux (ouais, chacun son truc, hein).


Chez lui, j'aime tout particulièrement les titres de ces disques. Par exemple, je trouve que le disque Esta boca es mia (ie Cette Bouche est à Moi) et sa pochette sont très bien trouvés (suivez les liens !). Ou le fait que le disque en live d'une de ses tournées s'appelle Nos sobran los motivos (nous avons bien assez de raisons).


C'est bien trouvé aussi que, lorsqu'il cède ses chansons à une amie pendant sa dépression, le titre du disque est Donde mas duele (Là où ça fait le plus mal), et quand il a repris la chanson, l'année dernière je crois, le titre est Alivio de luto (Soulagement du deuil).


J'aime ces textes provocateurs, j'aime ces phrases toujours bien tournées, les subtiles allusions toujours bien trouvées. C'est un peu le Gainsbourg made in Spain, je dirais. Il parle de politique comme de rêves, d'amour simple comme de prostituées, d'Aznar comme du Sous-commandant Marcos, il fait du rock comme des balades, sans oublier un petit rap, histoire de s'essayer, bref.


J'ai avec ses chansons un rapport passionnel. J'en écoute une en boucle pendant des jours, et après, pouf, plus rien. Il y a par exemple, la chanson Besos de Judas (Baisers de Judas), qui me plaît beaucoup, en ce moment. Le refrain, c'est por eso a veces tengo dudas / no sera un tal Judas / el que te enseño a besar... (je vous la traduis pas, j'ai essayé, c'est trop moche, et Rafa ne veut pas me la traduire, DONC, voilà, mettez vous à l'espagnol, un point c'est tout).


Bon, si vous ne comprenez pas l'espagnol, vous êtes un peu mal barré pour totalement apprécier, mais nonobstant, je vous met en lien mes morceaux préférés (enfin ceux que j'ai trouvés sur internet)


los cuentos que yo cuento (les contes que je conte), que j'étais supposée passer en cours, sauf que, pile ce jour là, évidemment, internet marchait pas, grrrrrrr (non j'étais pas véner non).


Mas de cien mentiras (plus de cent mensonges), une énumération des bonnes choses de la vie


Donde habita el olvido (là où habite l'oubli), là il est déjà plus vieux, il a déjà la voix plus éraillée. J'adore le refrain, qui dit Y la vida siguio / como siguen las cosas que no tienen mucho sentido / Una vez me conto / un amigo comun que la vio / donde habita el olvido (Et la vie a continué / comme continuent les choses qui n'ont pas beaucoup de sens / une fois, m'a raconté / un ami commun qui l'a vue / là où habite l'oubli ptain c'est moooooooche quand je traduis)


Et puis bon hein, après, j'vais pas vous faire toute la liste non plus, sinon j'en finis pas... d'ailleurs j'ai eu un mal fou à en choisir une pour le cours. Bref, enjoy !

mardi 15 janvier 2008

Damienriceophilie



Oui bon, et pour finir sur la lancée « je fais les soldes », j'ai également acheté un cd. Ouah, ça doit faire quoi, cinq ans que j'ai pas acheté un cd ? Maiiiis je suis une fille rangée maintenant, finie l'illégalité, le téléchargement, toussa toussa (streaming ? C'est quoi streaming ?), donc en même temps j'ai entrepris de me reconstruire une discothèque digne de ce nom


(ça s'appellera ana's club, y'aura plein de néons et faudra être habillé fashion comme dans Rues de Feu... ouais nan, faudra juste une étagère pour ranger des disques en fait)


J'ai donc acquis (magnifique verbe, « acquis », je m'y suis reprise à trois fois avant de le conjuguer correctement, dis donc, NAN, j'suis pas demeurée – juste correcteur-wordisée) le disque 9 de Damien Rice. Et je trouve que j'ai super bien fait. J'avais oublié la qualité, les sensations multipliées par dix quand c'est écouté sur une chaîne digne de ce nom, et non pas par des hauts parleurs d'ordinateur, ou dans des écouteurs d'ipod. (ouah, plus matérialiste comme paragraphe, tu meurs !).


Ce disque, ces mélodies, cette voix, ces mots sont tout simplement... à couper le souffle. Tristes, c'est vrai, mais j'aime les chansons tristes, c'est mes préférées, quel que soit mon état d'esprit. Et d'ailleurs, j'y ai trouvé LA chanson qui se place désormais en tête de la liste « mes chansons les plus triste du monde ».


Cette chanson, je l'écoute en boucle, depuis dimanche. Cette chanson, je l'avoue, elle m'a fait un peu trop trister, comme dirait l'autre (enfin son fils). Cette chanson, j'en ai encore les paroles qui raisonnent au fond de ma tête. Cette chanson, je pense en l'écoutant à tant de choses, vraies ou non, passées ou pas.


Cette chanson c'est Accidental babies.


Et sinon en ce moment je pioche aussi dans les disques de mon father (ça commence à parler un peu trop de lui aussi là hein), du coup j'écoute en boucle des classiques de chez classique, c'est-à-dire Wish you were here de Pink Floyd, et Harvest Moon de Neil Young, dont je vous met le clip d'un live...





vendredi 7 décembre 2007

Lalalala


Il fut un temps, lointain certes, mais pas tant que ça quand même, où je décidais de commencer ce blog. Et, à l'époque, toute pleine de bonnes intentions, je me proposais de faire des playlists, régulièrement.

Hum. Ouais. Bon. Pardooooooooooooooon.

Mais je me rachète et vous livre mes dernières trouvailles, à part Soko que je vous passe en boucle, (merci D.) et dont je vous conseille d'aller écouter I will never love you more:

Angus & Julia Stone

The Do

Mark Ronson (celui à qui on doit la géniale reprise du Toxic de Spears)

et pour finir, un petit frenchy quand même :
Pierre Delmas, découvert grâce à Maëlle, et surtout Insomnie Sentimentale.

et, découverte du moment, musicovery, ou comment choisir une humeur, et un degré d'intensité, et laisser les chansons se choisir par hasard... Dommage, le répertoire n'est pas très étendu, et bon, Julio, ça va trente secondes, hein, mais après...

lundi 25 juin 2007

Café de Paris


Les vacances ont commencé en beauté avec Rémix de passage à Paris. Le Mcdo nous a changé de nos goûts de luxe, mais le square de la rue Mazarine a eu droit à notre traditionnelle pause philosophico-politique – lui avec sa saharienne et ses rayban aviator, moi, mon t-shirt agnès b. et mes rayban wayfarer... attention, les fashions sont de sortie !

Puis soirée musique, au café de Paris. Au programme 4 groupes, dont surtout Chloé L. et Gigi Mercury. Très bonne ambiance, jolis sons, quelques éclats de rires mémorables et des commentaires parfois un peu trop haut placés... La soirée s'est fini autour d'un cocktail avec Valentinoes.


jeudi 21 juin 2007

Music day


Franchement, entre


- le chanteur du resto de l'avenue daumesnil qui s'égosille sur L'hymne à l'amour de Piaf, et le massacre en passant
- le groupe de pseudo rebelles influence punk qui ne fait que du Téléphone à la sauce trash en bas de chez moi
- l'inconnu qui s'excite sur son synthé à fond les ballons depuis une demi-heure
- et mon cher petit frère qui joue depuis 72h quasi-non-stop de la guitarre-à-trois-cordes ...

Comment je suis supposée finir de réviser, moi, HEIN ?!!


De toute façon, ma fête de la musique à moi, c'est samedi soir, rue Oberkampf, avant une petite virée au champ de Mars...

lundi 26 mars 2007

En parlant d'Europe...

... je ne voudrais pas dire, mais l'Eurovision ça va encore être n'importe quoi...



pour défendre la France, les Fatals Picards
(tout est dans le nom ^^), l'Amour à la Française...
de quoi avoir de bons fou-rires !

dimanche 11 mars 2007

* Chloé L. *




Parce que vendredi fut encore un joli concert, et pas le dernier !


Petit article pour l'encourager, et puis petit coup de pub aussi... (il faut bien que je serve à quelque chose, vu que je me suis vue détrônée du poste de manadgeuse par Jb... ! Enfin, je trouve que je suis très euh... drôle ? en chauffeuse de salle !)

Dooonc :

(looool waouh, comment tu te la pètes, genre site officiel !)
---- son myspace ----

samedi prochain
au Club Med World (Cour Saint Emilion)
à partir de 21h.

A bon entendeur...

mardi 16 janvier 2007

These Streets




Ma chanson du moment, c'est ça (merci Chloé et Lucas de me l'avoir fait découvrir ! votre version est cool !)... Ne faites pas attention au clip, il est hideux, mais c'est la seule bonne version de la chanson que j'ai pu trouver pour faire le lien (et comme je suis pas très douée...!).


Post un peu court c'est vrai, mais peut-être peut-on dire que m'a journée s'y résume puisque je l'ai eue dans la tête pratiquement toute la matinée (désolée M. Dewost), et je l'ai écoutée toute l'après-midi, alors... Et puis voilà, ce condensé de mots, un peu décalés, avec des attaches qu'on ne comprends pas forcément, tous ensemble, ça résume un peu tout ce qui s'embrouille dans ma tête en ce moment.


Cross the border,
Into the big bad world
Where it takes you 'bout an hour
Just to cross the road
Just to stumble across another poor old soul from
The dreary old lanes to the high-street madness
Eye fight with my brain to believe my eyes
And it's harder than you think
To believe this sadness
That creeps up my spine
And haunts me through the night

And life is good and the girls are gorgeous
Suddenly the air smells much greener now
And I'm wondering 'round
With a half pack of cigarettes
Searching for the change that I've lost somehow

These streets have too many names for me
I'm used to Glenfield road and spending my time down in quay
I'll get used to this eventually
I know, I know...