Comment vous décrire Londres sans vous parler de la pluie. De ces trois jours passés à marcher, parapluie transparent au bout du bras, plus souvent ouvert que fermé, de Covent Garden à la Tate Modern, d'Oxford Circus à la Tamise, et de Marble Arch à Saint Paul's Cathedral, en fin de journée, pour aller retrouver Clément.
Comment vous décrire Londres, sans vous parler des musées, art moderne, art du 15è siècle, art britannique, art du portrait, j'en ai eu pour tous mes goûts. J'ai vu le portrait d'Elizabeth II par Andy Warholl à la National Portrait Gallery, j'ai vu les tableaux de Turner en long en large et en travers, avec notamment sa rétrospective à la Tate Britain, j'ai vu tous les Gainsborough sur lesquels avait porté le dernier cours du Louvre, à la National Gallery... ...et surtout j'ai enfin visité la Tate Modern. Depuis le temps que je voulais y aller ! J'ai vu les hommes de Giacometti, le mobile de Calder, et la salle des Rothko, que j'ai eu le privilège et le bonheur d'avoir pour moi toute seule. Reste la Whitechapel Art Gallery, qui sera pour une autre fois.
Comment vous décrire Londres, sans vous parler des magasins. Etonnamment, ni Top Shop, ni American Apparel n'ont eu raison de ma carte bleue, ni même French Connection. je me suis plutôt ruinée à prendre des Mocha chez Starbucks, des Rolls chez Eat. et des Cookies chez Mark&Spencer. Et puis j'ai passé des heures dans toutes les petites boutiques de Seven Dials pleines de pleins d'objets que je n'achèterai jamais, pour la pure et simple raison que, même s'ils sont très beaux, ils ne servent... ...à rien, et dans les boutiques de vintage aux habits hors de prix.
Comment vous décrire Londres, enfin, sans vous parler de cette collocation au cœur de Covent Garden, sans vous parler des petits déjeuners avec Clément et de nos tartines beurre salé - confiture de framboise, des dîners de pâtes et de tomates mozza, du restau indien dont la bouche me brûle encore ; de nos promenades, de mon sens de l'orientation déplorable, des flaques d'eau où j'ai mis les pieds, de Piccadilly circus la nuit ; de nos fins de soirées aussi, à regarder Grey's anatomy.
Je ramène de ce petit séjour des photos inutiles, deux t-shirts, des dépliants de musées à foison, un livre d'histoire de l'art, une Oyster Card encore un peu chargée, des papiers plein les poches et des souvenirs plein la tête.
Je ramène aussi des chaussures qui ont l'air d'avoir été faites pour aller danser, avec leur tissu satiné et leur gros nœud à la pointe. Mais qu'est-ce que j'y pouvais ? mes ballerines trouées et trempées à la première journée, ce sont les seules chaussures fermées que j'ai trouvées dans le premier H&M que j'ai croisé...
Comment vous décrire Londres, sans vous parler des musées, art moderne, art du 15è siècle, art britannique, art du portrait, j'en ai eu pour tous mes goûts. J'ai vu le portrait d'Elizabeth II par Andy Warholl à la National Portrait Gallery, j'ai vu les tableaux de Turner en long en large et en travers, avec notamment sa rétrospective à la Tate Britain, j'ai vu tous les Gainsborough sur lesquels avait porté le dernier cours du Louvre, à la National Gallery... ...et surtout j'ai enfin visité la Tate Modern. Depuis le temps que je voulais y aller ! J'ai vu les hommes de Giacometti, le mobile de Calder, et la salle des Rothko, que j'ai eu le privilège et le bonheur d'avoir pour moi toute seule. Reste la Whitechapel Art Gallery, qui sera pour une autre fois.
Comment vous décrire Londres, sans vous parler des magasins. Etonnamment, ni Top Shop, ni American Apparel n'ont eu raison de ma carte bleue, ni même French Connection. je me suis plutôt ruinée à prendre des Mocha chez Starbucks, des Rolls chez Eat. et des Cookies chez Mark&Spencer. Et puis j'ai passé des heures dans toutes les petites boutiques de Seven Dials pleines de pleins d'objets que je n'achèterai jamais, pour la pure et simple raison que, même s'ils sont très beaux, ils ne servent... ...à rien, et dans les boutiques de vintage aux habits hors de prix.
Comment vous décrire Londres, enfin, sans vous parler de cette collocation au cœur de Covent Garden, sans vous parler des petits déjeuners avec Clément et de nos tartines beurre salé - confiture de framboise, des dîners de pâtes et de tomates mozza, du restau indien dont la bouche me brûle encore ; de nos promenades, de mon sens de l'orientation déplorable, des flaques d'eau où j'ai mis les pieds, de Piccadilly circus la nuit ; de nos fins de soirées aussi, à regarder Grey's anatomy.
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Je ramène de ce petit séjour des photos inutiles, deux t-shirts, des dépliants de musées à foison, un livre d'histoire de l'art, une Oyster Card encore un peu chargée, des papiers plein les poches et des souvenirs plein la tête.
Je ramène aussi des chaussures qui ont l'air d'avoir été faites pour aller danser, avec leur tissu satiné et leur gros nœud à la pointe. Mais qu'est-ce que j'y pouvais ? mes ballerines trouées et trempées à la première journée, ce sont les seules chaussures fermées que j'ai trouvées dans le premier H&M que j'ai croisé...
2 commentaires:
C'et bon d'avoir des chaussures qui dansent et du mocha dans les souvenirs...
Pour moi, Londres était toujours trois marionettes et un gant de boxeur à Candem, les sandwichs Pret à Manger, les recherches mythomanes d'une copine à Notting Hill.
Et maintenan, c'est la peur, mais ça, c'est une autre histoire.
Bonne rentrée, au moins il fait beau!!
merci laurita :) c'est vrai que tous ses souvenirs sont bons. Et puis le soleil brille au moins à Paris, c'est déjà ça... bonne rentrée à toi aussi !
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