dimanche 30 septembre 2007

2A, nous voilà !


Dire que c'est déjà demain...

Je n'aurai pas eu le temps de voir quelques uns de ceux que j'avais prévu, de lire toutes ces lignes, de vous écrire autant que je l'aurais voulu, ni d'entièrement profiter... Les vacances passent toujours sans qu'on s'en rende compte. Le temps de cligner des yeux, de faire un minimum la fête et d'oublier un peu et pouf, voilà, c'est déjà la fin.

Néanmoins une certaine hâte, même si le boulot s'ammoncelle déjà, ne serait-ce que par les descriptifs des conférences que j'ai pu trouver sur internet. Hâte de retrouver cette petite ambiance et notre microcosme désespérément mondain et superficiel - selon certains. Hâte d'aller à la soirée de mercredi, si j'arrive à avoir une place. Hâte d'être en cafète, en péniche, en cours. Hâte de découvrir profs, élèves, sujets...

Plus de détails demain !

samedi 29 septembre 2007

Au secours pardon



Ce roman est comme les derniers romans de Beigbeder (ie L'Egoïste Romantique), sans grand intérêt. Ca tourne en rond, ce n'est pas vraiment drôle, et puis on commence à le connaître, le personnage inconséquent et irresponsable d'Octave Parango...


Néanmoins, comme toujours, certaines belles phrases, oeuvre de l'éternel « sens de la formule » que j'adore chez ce type. Je vous en livre quelques unes...

« L'homme est une machine prévisible. »

« C'est si simple de devenir une bête immonde quand on vampirise la candeur. »

« Je détruisais ces mijaurées parce que j'allais mal, et j'allais mal parce que j'étais un mâle. »

« On n'a rien à perdre quand on n'aime personne. Ce n'est pas du nihilisme : c'est du capitalisme. »

« Les femmes de porcelaine nous donnent l'impression d'être un éléphant dans un magasin de Limoges. »

et quelques petits extraits

« Tu crois que je cherche à baiser des filles en enfilant une chaussette en caoutchouc sur la bite ? Hein ? Tu ne comprends rien ! Je veux que tu me serres très fort contre toi en m'expliquant comment on va être heureux ! »

« L'hédonisme est l'idéologie des gens qui n'ont plus d'espoir. Toute chimère est désormais interdite. La mondialisation fait de nous des techno-consommateurs pessimistes et résignés. L'amour est un rêve prohibé, comme tous les autres rêves, à part les crédits revolving. Le 21ème siècle ne se remettra pas d'avoir ridiculisé le lyrisme. »

vendredi 28 septembre 2007

The Velib' experience


Tout le monde en parle depuis cet été, tout le monde s'en sert, en plus c'est pas très cher, bref, c'est la top mode pour faire genre bobo-chic'écolo. Du coup, hier aprem', je me suis dit "pourquoi pas moi ?", j'ai pris ma carte bleue et mon courage à deux mains, et je me suis lancée.


Il ne m'a pas fallu longtemps pour conclure que... Vélib, ce n'est définitivement pas pour moi.


Hum déjà, pour faire marcher la machine, il m'a fallu un sacré bout de temps, avec des interrogations existentielles du genre est-ce-qu'il-faudra-que-j'aie-à-chaque-fois-150-euros-sur-mon-compte ou encore pourquoi-ils-indiquent-pas-tout-sur-un-seul-écran-jvais-oublier-de-lire-le-reste. Et après, j'ai failli mourir trois fois sur vingt mètres (saletés de taxis) et j'ai fini par m'échouer piteusement sur le trottoir (ouais, je sais, mais bon, j'assume, hein).


Bref, je me suis empressée de reposer le maudit engin. En plus, ces vélos, ça pèse une tonne. En plus, la selle, elle est trop haute pour mes p'tites jambes. Bref, je reste au bus-métro, ça me va très bien, tant pis pour la cool-atittude.


En plus, il pleut.

Bien fait. Na.

lundi 24 septembre 2007

Resolutions



NEANMOINS, comme je suis une gentille petite fille, eh bien je profite de cette dernière semaine pour mettre au point des résolutions, afin de commencer l'année scolaire dans le meilleur des états (c'est pas le nouvel an, mais presque !).


Donc, cette semaine :

- je vais continuer à lire assidument That Sweet Enemy, parce que faut reconnaître que les relations franco-britanniques de Louis XIV à aujourd'hui ça m'intéresse finalement quand même pas mal

- je vais lire tous les polys sur mes futurs cours

- je vais lire (ouhla ça fait beaucoup de lecture là) des bouquins pour les cours, notamment pour ce fameux cours d'analyses des dynamiques territoriales contemporaines en Europe, parce qu'il faut dire que le « the list of essays/research papers/dossiers will be provided during the second session of the seminar, after the profiles and motivations of the students will be known » ça me fait UN PEU flipper ("Why did you take this course ?" "HUUUUM well... !!!!!")

- je vais tenter d'arrêter de perdre mon temps sur facebook les soirs où je ne fais rien et je ne me coucherai PLUS à deux heures passées parce que je veux revoir encore un épisode de Grey's que je connais déjà par coeur. (Et puis parce que si je garde ce rythme, je la sens pas très bien, ma première journée de cours, 8h-17h sans pause déjeuner)

- Je n'irai pas à la soirée melting potes (bon ok, surtout parce que là, tout de suite, j'ai pas très envie de raquer 20 euros pour l'inscription au bde + la soirée – et puis en fait je préfère aller à Sea, sex and Seine le 3 octobre)

- Je vais retourner courir, parce que dire que « je m'y suis remise doucement » c'est VRAIMENT un euphémisme (dans le genre, une petite demi-heure tous les 25 du mois, c'est pas très productif on va dire)

Comment ça, j'ai pas l'air crédible ?!

J-7



Dernière semaine de vacances. Je profiiiiite. Mais bon, j'ai hâte, aussi. Trois mois, ce serait presque trop long (j'ai dit presque, hein !).


J'ai vu plein de films, dernièrement. Narco, qui ne vaut pas un clou, sauf si vous ne savez pas ce que sont des beaufs... Ben, c'est les gens du film, quoi. C'est lent, ça n'avance pas, on a failli s'endormir – enfin c'est pt'être le but, je sais pas moi.


J'ai vu aussi 28 jours après. Oui, moi, j'ai vu un film d'horreur. Ca faisait des lustres, mais c'est bien parce que Rémix était là (et que Stefano a mis 3heures pour revenir d'Orly). Imaginez le Royaume Uni, dévasté par la rage. Deux ou trois survivants, beaucoup de morts-vivants, et la course habituelle vers la vie sauve. Sans oublier l'once d'histoire d'amour, et la mort d'un des héros, pour verser une petite larme (très optionelle, pour le coup). Impressionnant, quand même, les images de Londres dévasté, Picadilly désert, etc.


Enfin, L'Age d'Homme. Grosse déception... En gros, quand t'as vu la bande annonce, t'as vu le film. Si ce n'est pour la BO, et pour le plaisir de me trémousser intenablement sur mon fauteuil au son de Freedoooom, take it eeeeeeeeeeeeEEEEEEEEAAAAAAAAAAAASYYYYYYYYYYYYYYYY, ça n'en vaut pas vraiment la peine.


A part ça, je carbure essentiellement au McDo (le McDo de St Michel, je commence à le connaître PAR COEUR), aux pâtes et au diabolo menthe – que du bon, n'est-ce pas ?! Mais bon je fais attention à ma ligne, quand mêmeuh (sisi jte jure). Même que, par le plus grand des hasards, j'ai même maigri (comment ça on s'en fout ?). Faut dire, des allers-retours incessants dans le tout Paris, des cours du soir à l'école du Louvre, des nuits presque blanches, entre les amis, internet (oui, je suis toujours la grande geek que vous savez), et les réunions de Pipo à l'aube (comment ça 8h45 c'est pas l'aube ?!!!), il ne reste pas beaucoup de temps pour s'engraisser.

jeudi 20 septembre 2007

Surviving the inscriptions pédagogiques

postsecret

C'était encore plus la cata que l'année dernière. Le grand n'importe quoi. Heureusement Anne était venue chez moi, tester mon super wifi haute vélocité. Je vous raconte la galère...

10h. Ca fait déjà une bonne demi-heure que je m'obstine à tapper mon identifiant et mon mot de passe devant la page qui ne s'ouvre obstinément pas. « Non mais tu sais, je crois que ça s'ouvre automatiquement, à l'heure prévue... » ah bah ok. N'empêche, j'essaye quand même. On sait jamais.

10h05. La chasse est ouverte. Bug intégral du serveur, j'ai une belle page blanche, et Anne est bloquée, et pendant ce temps certains raflent les meilleurs horaires, les meilleurs profs.

10h20. Ca a l'air de fonctionner à peu près correctement. Vite, je clique je clique, ouf, j'ai le cours magistral de droit ; ouf encore, j'ai pouvoir politique, du niveau local au niveau européen ; ouf enfin, j'ai l'enseignement d'ouverture sur le marché du vin (les vendanges, ça m'a grave affecté le ciboulot, en fait).

Et puis après, les problèmes commencent. Il est presque 11h quand je m'apperçois que je suis miraculeusement passée en niveau 5 en anglais, alors que j'ai découvert hier le monstrueux D en niveau 4 qui décore mon relevé de notes du second semestre, et qu'il n'y a que deux cours au choix. L'un est plein, l'autre à la même heure que mes leçons vinicoles.

Et puis, je m'apperçois que toutes les conférences en Espace mondial et Enjeux politiques sont pleines, alors qu'il est obligatoire de s'inscrire dans l'une des deux. Ah bah c'est malin, ils savent bien compter, à l'administration.

Midi. Je trépigne, j'en ai marre de rafraîchir ces pages, la ligne d'aide aux inscriptions pédagogiques est saturée, et je désespère de devoir rester là jusqu'à 19h. Du coup, je pète un cable, claque mon ordi et vais faire un tour (bon ok, prendre ma douche).

Vers une heure, tout s'arrange. Des places sont rouvertes pour les Enjeux Pol. Et un mail au secrétariat des langues règle mon problème d'Anglais. Tout est bien qui finit bien. Sauf que...

... j'ai pris quoi en enseignement électif en anglais, déjà ? Un truc simple, non ? Euh... « Policies of attractivity, innovation challenges and competitive strategies : analysis of contemporary territorial dynamics »... Laissez-moi rire !!!

mercredi 19 septembre 2007

Pipolife starts again.



« Le mercredi 19 septembre : de 10h à 11h30 : présentation de Sciences Po et des enseignements de la 2ème année », disait le mail du secrétariat.

Enfin, moi, j'aurais plutôt appelé ça « destruction de moral et flippage général avant le début de la deuxième année », m'enfin, chacun son truc, hein. Un petit « bonjour, j'espère que les vacances ont été bonnes », aurait été agréable à entendre, mais bon, il ne fallait pas trop en demander à notre cher directeur de la scolarité, qui certes passait une mauvaise journée, comme il a tenu à nous le signaler (reste à savoir en quoi ça nous concerne, mais bon).

Donc en gros, demain ce sont les inscriptions pédagogiques, et ça va être encore plus le n'importe quoi que d'habitude, étant donné que l'ouverture de places par palliers a été suprimée, donc ça se résume à « c'est celui qui clique le plus vite / qui a la meilleure connexion internet qui a les meilleurs cours ». Mais loin de moi l'idée de critiquer, je n'ai pas, il est vrai, de système plus juste à faire breveter.

Et puis, entre sarcasmes, menaces de sanctions extrêmes pour cause de plagiat, et interdiction d'absences à moins d'avoir été écrasé par une voiture (et encore faudrait-il peut-être rapporter le numéro de la plaque d'immatriculation pour le prouver... ou presque), on a revu pas mal de monde.

Retrouvailles... Tout le monde n'était pas là, mais l'amphi Chapsal était plein. La machine a potins redémarre, untel a maigri, trucbidule ressemble à sa soeur, machinchouette a complètement changé, sans oublier les « nan mais j'ai vu sur facebook que... ». C'est vrai ça, facebook, ça alimente à fond le commérage, finalement...

Enfin bref, on s'en serait bien passés, de cette réunion, qui ne nous a pas servi à grand chose, à part à nous faire stresser jusqu'à demain 10h. Et puis, déjà, le moule m'étouffe. Bizarre, hein, d'habitude je ne m'en plains pas... Mais là si. Je ne sais pas pourquoi. Le cafard. M'enfin, on verra...

dimanche 16 septembre 2007

Old friends of mine


Soirée bien remplie, hier soir... Paris s'active, Paris revit ! et déjà d'autres retrouvailles en perspective : après Vittorio cette après-midi, Clément le weekend prochain, Pierre incessamment sous peu et AQ dans la semaine !

Hier, donc... D'abord, soirée à l'autre bout de mon cher 12ème arrondissement. Un dîner dans l'ancien immeuble qu'on habitait, rue de Toul, là où j'ai grandi. Apéritif dînatoire avec des amis, et leurs filles, mes amies d'enfance, justement. Ca fait drôle de nous voir grandies, quand il y a peu on jetait encore par la fenêtre des chips sur la terrasse du voisin. Ca fait bizarre d'observer du coin de l'oeil les rapports entre les parents, qui semblaient si simples il y a peu, et qui semblent aujourd'hui si complexes. La vie d'enfant est décidément la plus belle, la plus insouciante, la plus heureuse.

image de Postsecret

Puis, pendaison de crémaillère, ou plutôt de "crémière" (private joke ;) ), chez Chloé et JB. Là aussi, ça fait bizarre. Bizarre de voir que pour eux, ça fait plus de 3 ans, déjà. Bizarre de les voir dans leur premier vrai "chez eux", enfin. Enfin, en petit comité, nous avons bien ri, les photos sont sur facebook, avis aux intéressés.

mercredi 12 septembre 2007

Paris



Et maintenant Paris... Paris et rien à faire, absolument rien, sinon profiter, jusqu'au premier octobre...

Je sillonne le Marais, la Rive Gauche, le douzième. Je me dis tous les jours qu'il faudrait que j'ose enfin monter sur un de ces vélib', mais j'ai trop peur de me prendre un arbre, une voiture, voire pire, un piéton. Enfin un peu de ciel bleu – heureusement.

Je vais de promenades en cafés, de déjeûners en dîners, de bars en squatts, de rencontres en retrouvailles, de découvertes en disputes, de silences en flots de paroles, de bons souvenirs en d'autres à se faire.

Bref, tout va pour le mieux, dans ce monde qui n'est pourtant pas des meilleurs (ça c'est ma partie complainte-qui-ne-sert-à-rien), oui, tout va bien...

mardi 11 septembre 2007

The French Riviera



J'ai fini août et commencé septembre dans le Sud. Il y avait longtemps... Porquerolles, d'abord, l'île en face d'Hyères, avec ses cyclistes, ses plages de sable fin, sa mer transparente. Le hors-bord, aussi, l'espace d'une journée, échapper aux gens et naviguer près de la côte, être tentés de faire le tour entier de l'île, et puis finalement non, par peur de la houle. S'endormir au soleil. Se promener sur les sentiers. Bronzer, enfin. Bouquiner, un peu.

Toulon, ensuite. La maison familiale, les 80 ans du grand-père, pour la première fois ému, à l'étonnement général. Faut dire, c'est pas un tendre, l'aïeul, loin de là. Alors le voir verser une larme, en lisant les quelques mots que sa femme lui souhaite, ça reste un moment unique.

Nice, enfin, et sa Baie des Anges. Profiter du soleil, de la socca et de la promenade des anglais, du musée Matisse et du musée d'art moderne, en compagnie de mon cousin. Voir Little Miss Sunshine, Talons Aiguilles, Blow – sortir sur le balcon passé minuit, et regarder le château illuminé.

Enfin, de retour à Toulon, profiter un peu de la maison au calme, lire encore des magasines et faire de la couture. Vouloir aller à la plage, et puis finalement préférer la balancelle du jardin. Ne pas rater un épisode de Plus belle la vie, apprendre à faire un soufflé au fromage, et faire la vaisselle à la main.

dimanche 9 septembre 2007

Grape Harvest Fever



Ahhhh, les vendanges avec Valentinoes... petit topo.

Dans les vignes, t'es soit coupeur, soit jarlot. Le coupeur, c'est le galérien qui se pète le dos dans les ceps de 15 centimètres de haut à arracher des raisins avec sa foutue serpette, raisins qui, souvent, abondent en pourriture, araignées, and co. Le Jarlot, c'est le Mr Muscle qui fait des aller-retours avec des sceaux vides / des sceaux pleins, qui remonte les bennes sur le camion, et qui, en cas d'extrême détresse, t'apporte un verre d'eau.

Bon, mes 1m60 et moi, évidemment, on s'est retrouvés coupeurs. J'ai donc connu les joies de l'accroupissage dans la boue, du penchage au travers des fils de fer, et du 1000miligrammage de doliprane deux fois par jour - anesthésie garantie contre le mal de dos.

Le premier jour, il faisait beau, même un peu trop. L'après-midi en plein cagnard, pour finir les horaires (7h-11h30, 13h-17h30), c'était pas évident, et sans les quelques saisonniers du troisième âge (Gérard, « que la force de Gérard soit avec nouuus », Renée « vous êtes notre mamie !!! » and co.), on aurait eu du mal à finir cette dernière rangée.

Le deuxième jour, temps parfait... Frais, nuages, que demander de plus ?! Le troisième jour, début dans la bruine, on ne s'en plaignait pas, mais après-midi sous une pluie diluvienne, et quand les éclairs ont commencé à tomber, on a finalement dû s'arrêter... Eh ouais. Vingt personnes debout au milieu des ceps avec des serpettes en fer, c'est pas le plus recommandé sous l'orage. Puis jeudi, gadoue gadoue gadoue, mes pantalons y sont definitivement restés, déjà que les tâches de raisin les avaient bien décorés...

Oui, c'était physique. Oui, j'ai encore des cales sur les doigts. Oui, j'ai décidé que je ne me pencherai plus d'ici à un bout de temps... Mais les souvenirs qui me restent sont tout aussi géniaux que ces quelques éléments sont désagréables.

Franchement, quoi de plus drôle que de voir des parfaits petits bourges made in le lycée montaigne trimer dans les champ de raisin ? Quoi de plus drôle de nous voir tous ensemble au milieu des saisonniers îvres morts, le soir, au bar du village ? Quoi de plus drôle que de voir nos mines déconfites à 6h du matin, devant le café noir, et celles réjouies devant les rillettes de 10h du matin ? Quoi de plus drôle que de chanter et d'entendre chanter, à tour de rôle, Barbara, Willy Denzey, Telephone, Reggiani et Mc Solaar (ou un truc du genre), pour essayer vaguement de penser à autre chose qu'aux énormes araignées ?

Il restera, comme toujours, des phrases mythiques (« tu sais, dans la vie, ya des hauts, des bas, mais on s'en sort toujours à la fin »), des histoires cachées (quoiiii, ils ont couché ensemble ??? mais pourquoi j'étais pas au courant ??!), le tout ponctué de repas très bons (vivent les pâtes à tarte faites maison) arrosés de brouilly (moi ? éméchée ? Il m'en faut si peu...), et de ces irremplaçables « ennnnnnfiiiiiiiin... ».


Et puis après l'effort...
... le réconfort.